Bonjour !
Ce mardi 5 janvier, nous avons fort bien démarré l’année !
Nous étions très légèrement plus nombreux qu’en Décembre, 17, conséquence logique de la fin des vacances et, peut-être, d’un avant-confinement. Nous venions de toute la région des Weppes ( de Salomé - Illies à Verlinghem, et de Nieppe à Emmerin ). Des 10 clochers initiaux du groupe, nous étions 5. Bravo à tout le monde !
Cette lettre va aussi à celles et ceux qui n’ont pu ou ne peuvent plus venir en ce moment. Nous ne les oublions pas et avons bien pensé à eux.
Église d’Escobecques chauffée confortablement par Marie, crèche accueillante, ambiance feutrée ( ou presque … ), échange de nos intentions et prière avec masques.
Nous n’avons pas oublié l’intention de Thérèse, pour Annick, intention donnée par Marie, puis répétée par votre serviteur retardataire. Personnellement, j’en avais 4 : Annick, nos soldats morts pour la France et les autochtones massacrés, le cafetier d’Escobecques dont c’est l’enterrement a lieu ce jeudi, et une quatrième dont je ne me rappelais plus …. Elle m’est revenue en vous écrivant présentement : Germain, qui se trouve en soins palliatifs, entouré de sa Maman ( amie de Monique D. ) et de ses frères.
Suivirent la lecture de l’Évangile et son partage. Sujet : la première multiplication des 5 pains et des 2 poissons de l’enfant. Il en resta 12 paniers ! 2, 5, 5 + 2 = 7, 12 : que de chiffres symboliques dans la Bible, pour une … première communion.
Jésus, avec un amour infini, bien que fatigué, multiplia sa Parole pour la donner sans compter à une foule immense, pendant toute une journée. Mais Il laissa faire par ses disciples la distribution bien ordonnée de la forme terrestre de son Amour : une première forme de la Communion que nous connaissons actuellement.
Cela me rappelle mon enfance chez mes grands-parents ( Édouard ! et Marie ) qui habitaient Aire-sur-la-Lys. A la collégiale St Pierre, dont la destruction du chœur pendant la guerre était encore cachée par des tentures, nous fêtions chaque année ND de Panetière. Ce dimanche-là, la Communion était distribuée sous forme de petits-pains disposés dans des paniers. Et il y en avait assez pour tous les participants dans une église bondée …
Ensuite, la Vierge Marie nous a donné un ciel nuageux mais non pluvieux, qui nous a protégés efficacement - toute la journée d’ailleurs - pour « monter » jusqu’à Ennetières. Merci, Vierge Marie !
Au retour, le sujet de l’Évangile fut repris … plus terrestrement pour fêter l’Épiphanie.
Bien entendu, pour qu’il n’y ait pas une foule immense ( « sans compter les femmes et les enfants … » ) trop vite repérable par la force publique, ou enregistrable sur GoogleMaps, je m’étais abstenu - difficilement je l’avoue, souvent à contre-cœur - de faire de la publicité sur le sujet … Que les destinataires excusés de cette lettre veuillent bien m’excuser, mais personne n’avait été mis au courant.
Mais les habitués connaissent …
Et en regardant bien le calendrier de ce trimestre, je vois qu’il n’y aura pas de session de rattrapage pour ce jour d’Épiphanie … Dommage.
Enfin, je vous joins 2 textes sur l’ Épiphanie :
- un commentaire ( RCF je crois ) transmis par Michèle
- le commentaire du Carme, transmis par Jésus Aujourd’hui.
La fin du texte m’a beaucoup touché : les mages - païens - ont reçu des signes terrestres pour aller vers Jésus ; arrivés sur place et convertis, ils reçurent alors des signes de Dieu pour s’en retourner chez eux. Miraculeux, non ?
Cela me fait penser en parallèle à tous ces gens qui se lancent, par mode, par sportivité, par défi, par test, dans des pèlerinages comme celui de Compostèle. Beaucoup partent en touristes, et reviennent en … pèlerins.
Mardi prochain, ce sera au Maisnil. Nous veillerons à ce que la marche sera adaptée aux membres habituels de notre groupe, ni trop longue, ni trop rapide.
A bientôt !
Bien fraternellement, et encore merci à vous tous pour ce mardi ! Magnifique !
Marc.